Voici les interviews de Paco Ureña et Javier Jiménez réalisaient par Toromedia.
Paco Ureña : "Seville fait ressortir le torero que je suis actuellement"
Quel influence cela a eut sur ta temporada d'être l'un des triomphateurs de Sevilla?
Paco Ureña : Ca a permis de franchir une étape importante dans ma carrière. Ca a permis de faire ressortir le torero que je suis aujourd'hui. Ca a été le triomphe le plus important.
Que te souviens-tu de la faena du toro de Victorino avec la perspective que des mois sont passés?
Paco Ureña : Heureusement, je peux continuer de la voir et me la rappeler jour après jour, et la vérité, c'est fantastique de pouvoir vivre et revivre ceux que j'ai senti dans les arènes. Ce fut une faena d'abandon de moi même, eulement pour toréer.
Ca te surprend que ton toreo plaise autant à Seville?
Paco Ureña : Non, parce que Seville aime les toreros qui mettent toute leur entrega, beaucoup de vérité et de pureté. C'est le torero eterno.
Quand l'empresa Pagés ta proposé de revenir à Seville pour la San Miguel, tu le pensais?
Paco Ureña : Non, pour rien au monde. C'est un rêve de pouvoir toréer à Seville.
Que penses-tu du cartel Morante et Javier Jiménez? Et la corrida de Alcurrucén?
Paco Ureña : C'est un cartel très interessant. Du maestro Morante je peux en dire peu. C'est incroyable, de pouvoir toréer avec lui et Javier c'est un torero qui s'ouvre le chemin peu a peu et il est la pour son mérite et cela est juste. La corrida d'Alcurrucen est une grande ganaderia.
Quels fais de la temporada détacherais-tu comme ta meilleur carte de présentation cette année?
Paco Ureña : Je crois que la manière d'interpréter mon toreo chaque après-midi, c'est ceux qui me représente le mieux.
Tu es murciano mais tu passes beaucoup de temps à Seville pour ta préparation, tu crois qu'être sur ses terres cela t'a apporté quelques choses comme torero?
Paco Ureña : Cette terre est ma maison. J'ai vécu 12 ans à Seville, imagine ceux que c'est pour moi, et comme torero, cela m'a apporté beaucoup de choses.
Tu te vois abandonner rapidement le circuit des corridas dures ou difficiles?
Paco Ureña : Moi je dis que je suis torero, et comme torero, j'essaie de toréer tous type de toros. Heureusement, les corridas que je toréais sont de Victorino, Adolfo et des ganaderias punteras. Mon souhait est d'être meilleur chaque jour.
-----------------------------------------
JAVIER JIMÉNEZ: “ Je veux que ceux qui c'est passé à Madrid ne soit pas juste un fait"
Comment tu evalues ton retour à Seville ?
Javier Jiménez : Ca me donne beaucoup d'espoirs de revenr à Seville. Après les bonnes sensations que j'ai eu lors de la Feria de cette année et surtout depuis mon triomphe de Madrid, j'affronte cette course pleins d'espoirs, avec beaucoup d'envie que samedi arrive.
Quel regard portes-tu sur ta préstation lors de la Feria de Abril après quelques mois ?
Javier Jiménez : Cette après-midi là fut un pas de plus vers l'avant, une après-midi qui pour moi a marqué un avant et un après. On a put voir une évolution, j'ai montré quelque chose que j'avais au plus profond de moi mais que le personne n'avait jamais vu. Les gens avaient une idée de mon destin, il pouvait penser que je n'étais pas un torero fin et cette après-midi là, devant le premier toro, j'ai pu prendre une dimension que personne n'avait vu jusque là. J'ai sorti des choses que je fais au campo, mais que je n'avais jamais pu réaliser dans les arènes. Ce jour m'a servi car je me suis débarassé de mes complexes et j'ai fais les choses comme je les sentais.
L'épée t'as privé d'un triomphe qui aurait pu changer beaucoup de choses…
Javier Jiménez : Oui, d'autre part je me rappelle la rage que j'ai senti pour ne pas avoir remater cet après-midi avec l'épée. Quand tu l'as dans la main et dans ma situation, il est dur d'assimiler qu'on perd tous à l'épée. Surtout après avoir été tellement à gusto et avoir senti comme Séville répondait à ma tauromachie. Après l'effort et d'avoir été tellement bien, c'est une peine, la vérité… Par malheur cela c'est produit d'autres fois, de novillero, à Séville : avoir ce qui est eu là et…Espérons que ce samedi je remate bien la tarde. Il me manque le triomphe numérique, ce qui compte, puisque ceux qui commence nous avons besoin de couper des oreilles.
Il s'avère difficile aux jeunes qu'on les prennes en considération considération ?
Javier Jiménez : Avant de Madrid on me disait qui manquait un grand triomphe. Après ce qui c'est à Madrid je suis entré par des substitutions et dans des bon cartels. Quand tu donnes des motifs efficace et des triomphes on compte sur toi. Les jeunes nous devons doones 4 ou 5 détonations dans des places de première catégorie, nous devons avoir une régularité. C'est pourquoi ce rendez-vous de Séville est si important pour moi, parce que c'est la première arène de première catégorie après Madrid et je veux qu'on voie que ce qui c'est de Madrid ne sot pas juste un fait.
Séville est-elle différente pour la Féria de San Miguel ?
Javier Jiménez : Séville est Séville quelques soit la date. Cette arène te donne quand tu y vas. En outre c'est ma terre et j'y vais toujours avec la même responsabilité. Homme, en avril un triomphe te sert à faire beaucoup de choses dans la saison. Mais triompher avec force maintenant sert aussi, et beaucoup.
Quelles perspectives tu as pour 2017 ?
Javier Jiménez : Premièrement je veux d'abord terminer bien ma saison à Seville et Saragosse. Mais je peux dire que les perspectives seront plus positives que cette année. Ce fut une bonne année et Madrid m'a permis de mettre les choses en place. Lors de ces derniers contrats je veux justifier mon triomphe de Madrid pour commencer très fort.
Toromedia