Imanol Sánchez
Imanol Sánchez a pris l'alternative, le 9 septembre 2013 à Catalayud, des mains de Javier Castaño et d'Alberto Aguilar comme parrain.
Mundillo Taurino : Bonjour Imanol, peux-tu te présenter un peu pour les personnes qui ne te connaissent pas ? Comment est-tu arriver à cette profession, les dates importantes de ta carrière, …
Imanol Sánchez : Je m’appelle Imanol Sánchez, je suis de Pedrola, un petit village de la région d’ Aragón qui est très proche de Navarra, terre où j’ai grandi comme torero et où j’ai des racines profondes. Dans cette zone, c’est habituel les Festivals Populaires (encierros, capeas, recortadores) et à la suite de cela, j’ai commencé à être curieux, a m’intéressé au monde des toros.
C’est difficile résumé en quelques lignes les moments importants de ma carrière, mais des plus récentes je pourrais dire ma course à Zaragoza, l’an passé.
MT : Tu as très peu de contrats, par les moments difficiles dans lesquels se trouve la tauromachie actuellement, comment vis-tu et ressent-tu cela ?
Imanol Sánchez : Malgré que je me régale en m’entraînant quotidiennement parce que j’aime le sport ainsi que toréer de salon, c’est très difficile de s’entraîner tous les jours, durant des mois et des mois sans savoir quand je vais toréer. De plus, je suis mon propre apoderado et quelques fois les empresarios m’ignorent ou me traitent avec peu de sensibilité.
MT : Ta temporada a été courte, avec seulement deux paseos et un festival, mais itense en émotion et triomphe, comment analyses tu cela ? Tu as toréé à la Misericordia, le jour de Aragón et tu as coupé l’unique oreille de la tarde.
dures, que peux-tu dire sur ça ?
Imanol Sánchez : Pour mon concept du toreo, je crois que c’est un type de corridas qui se joignent parfaitement, et de laquelle je ne veux pas sortir, je suis partisan de tirer un rendement à n’importe quel toro indépendamment de sa condition.
MT : La France t’a ouvert ses portes de novillero, moins en tant que matador, que peux-tu dire que l’aficion française ?
Imanol Sánchez : Comme novillero j’ai eu une bonne étape, mes après-midi en France furent avec de grande peur mais avec beaucoup d’émotions. Lorsque j’étais novillero, la France, m’a traité avec un respect incalculable. Sur l’aficion française, je peux seulement dire qu’elle a une grande sensibilité et un grand respect envers les toreros qui devrait être copié dans le monde entier, j’ai beaucoup d’affection pour eux, spécialement à tous les aficionados qui m’ont aidés et qui m’ont permit de toréer ici.
MT : Avec quel encaste te sens-tu le plus a gusto ?
Imanol Sánchez : J’aime beaucoup l’encaste Santa Coloma, c’est un encaste qui présente quelques difficultés bien déterminées, mais si un torero est capable de les résoudre, les toros ont un fond de qualité qui permet une certaine toréabilité et c’est à partir de là que sort des
toujours des critiques de la part des taurins, à chaque fois il y en a plus qui se rendent compte que sa fonctionne. Premièrement parce qu’on a réussi à créer une communauté taurine pour promouvoir la tauromachie et en suivant parce que petit à petit tout le travail réaliser sur les réseaux fait que les jeunes et peu habitués aux spectacles taurins vont aux arènes. De plus, dans mon cas, je toréais peu c’est une forme d’alimenter mon espoirs et illusions et sentir le soutient et l’affection des aficionados.
MT : Comment se passe le jour au jour d’Imanol Sanchez ? Sa préparation physique et mentale ?
Imanol Sánchez : Je me dédis entièrement pour le toro, je dédis les matins et après-midis à l’entraînement. La partie physique comporte du running, de la boxe, des circuits d’agilité ou du gymnase et la partie artistique au toreo de salon, carreton pour entrer a matar et carreton de banderilles. De plus, j’ai toujours quelques livres pour m’entraîner mentalement, comme le dernier que j’ai lu « Pensée comme les meilleurs guerriers » de l’ex commandant des SEALS Mark Divine.
MT : Comment vas être l’hiver d’Imanol, quel sera son entraînement quotidien ?
Imanol Sánchez : C’est un hiver difficile parce que j’ai peu de tentaderos mais comme je l’ai dit ma préparation se fonde sur l’entraînement et d’alimenter l’espoirs pour ne pas le perdre.
MT : Imanol Sanchez en un mot ?
Imanol Sánchez : Persévérance
MT : Un triomphe ?
Imanol Sánchez : Zaragoza avec les El Pilar ou Pampelune avec la corrida de Miura
MT : Une arène ?
Imanol Sánchez : Zaragoza et Pampelune (Tu me permet dans citer deux) Rire